La Méthode Meer® en 3 phases :

 

Apprendre à manger de manière instinctive

Les émotions et le poids sont liés. Notre système de régulation est régulé par le cerveau de manière inconsciente à 98,4%. Les animaux dans la nature ne sont pas gros. Pourtant ils n’ont aucun horaire à respecter, aucune quantité à limiter, aucune notion nutritionnelle. Ils ne cherchent pas à restreindre le gras, le sucre, ou à augmenter leur taux de protéine ! Car ce qui nous sépare des animaux est cette faculté qui fait de nous des êtres doués d’intelligence. Par exemple, nous pouvons créer des œuvres d’art, des fusées pour voyager dans l’espace, créer du confort à profusion, anticiper, penser, organiser, etc. Néanmoins, cette faculté a son revers de médaille. Parce que vouloir gérer le corps humain avec des calculs savants, des privations et des ordres engendre des déséquilibres et des émotions.

En effet, notre corps est la résultante d’une merveilleuse alchimie qui maintient l’équilibre avec son environnement, extérieur comme intérieur : rythme cardiaque, température corporelle, maintien en veille et en sommeil ou encore le système immunitaire sont certains de nos mécanismes inconscients qui assurent notre bien-être.

Nos besoins alimentaires sont inconscients, tout comme ils le sont pour les animaux. Manger ce qui nous fait envie quand on a faim et arrêter quand on n’a plus faim sont la seule règle à suivre pour vivre sans prise de poids. Manger équilibré n’est pas naturel, c’est issu de la réflexion. Et la culpabilité qui en découle est le couteau qui danse dans la plaie. Les émotions sont vives.

Manger de manière instinctive passe par la compréhension des comportements et habitudes qui poussent à manger et/ou à stocker. La réappropriation des sensations corporelles est essentielle car elle est le début d’une vie en conscience. Manger devient un bonheur et la perte de poids s’amorce dès les premières séances.

 

Gérer les stress et les émotions

Il est urgent d’apprendre à repérer et désamorcer les crises de compulsions alimentaires avant qu’elles ne surviennent. Elles terrassent tout sur leur passage. Comme notre volonté et en particulier, notre motivation. Car cela dépasse ce que l’on veut. On veut ne pas manger, mais on mange quand même. La tête se dissocie des bras durant ces épisodes. Et la culpabilité referme le couvercle sur ce qu’on peut penser de nous. Le poids de la culpabilité…

Les neurosciences sont capitales pour comprendre le circuit de l’addiction qui fait aller de rechute en rechute. Nous pouvons déjouer ses plans, et ce, doucement et tranquillement.

A la base de toute crise, il y a ou un vécu négatif ou un évitement de ce qui est perçu comme une réalité. La vie est vécue comme un combat, et le surpoids est un rempart contre les émotions. Les ressentis émotionnels sont confondus avec l’envie de manger.

Les clefs vous sont données pour neutraliser les crises sur l’instant et elles ne reviennent plus. Vous n’êtes pas seul.e face à cela. Et vous découvrez une nouvelle manière de voir les choses.

Maigrir durablement avec la Méthode Meer®

Un déséquilibre alimentaire donne l’information que nous ne vivons pas selon ce qui nous conviendrait complètement. Les neurosciences et l’épigénétique sont les piliers de la compréhension qui nous amènent au changement.

Nous devrions vivre en conformité avec qui nous sommes vraiment, en fonction de ce qu’on pense être le meilleur pour nous. Être en constante référence interne, à soi, et non pas, comme c’est très souvent le cas, en référence aux autres.

Les transmissions épigénétiques au sein des lignées familiales engendrent des comportements réactifs, voire violents, qui ne nous appartiennent pas et qui nous enferment dans des schémas qui se répètent de manière inconsciente. Leur compréhension permet le changement radical de nos réactions et libère des obsessions alimentaires et/ou inadaptées.

Le coaching minceur Méthode Meer®, c’est la possibilité de changer, d’apprendre à se connaître et de vivre en harmonie avec soi et les autres, et d’avoir une relation saine avec la nourriture en ne confondant plus vraie faim et faim émotionnelle.